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une prisonnière transgenre enceinte ses codétenues
USA : une prisonnière transgenre enceinte ses deux codétenues
Aux USA, une prisonnière transgenre enceinte ses deux codétenues. Selon un article, une détenue trans*sexuelle de nationalité américaine aurait engrossé ses deux codétenues dans une prison pour femmes dans le New Jersey, d'après un article du Daily Mail retranscrit par le site Ulyces. Demi Minor, une jeune femme, emprisonnée dans l'établissement pénitentiaire pour femmes d'Edna Mahan a enceinté deux femmes également prisonnières dans la même maison de correction. Le département pénitentiaire du New Jersey a signalé le 12 avril, les grossesses de deux détenues, tombées enceintes après avoir eu des relations se*xue_lles avec une femme qui était auparavant un homme.   Mais pour monsieur William Sullivan, président du syndicat qui représente la plupart des agents correctionnels de l’État, ces grossesses étaient évidentes :" Il y a des douches collectives, des loisirs, et nous ne pouvons pas surveiller les 800 détenues à chaque seconde de la journée. "   L’une des deux détenues enceintes, Latonia Bellamy, a insisté sur le fait qu’elle n’avait pas été violée, justifiant son choix : " Bien que cela ne soit pas autorisé, je suis tombée amoureuse et j’ai eu des relations se*xue_lles consenties avec une femme trans. ... Cela a créé un lien authentique qui m’a offert une grande quantité de soutien, de compréhension et d’amour". Demi Minor a commencé sa transition de genre en 2020. Depuis son incarcération à Edna Mahan, elle a tenté de changer de vie, se faisant l’avocate des autres détenues de la prison.   Mais ce rapprochement avec les autres codétenues l'aura rendu mère, mieux, père de deux bambins.L'engrosseuse était dans la même prison que les deux femmes enceintes.   Cette prison pour femmes accueille depuis 2021 des femmes transgenres.L’établissement compte à ce jour 800 détenues, dont 27 transgenres. Source : Ulyces CES ARTICLES PEUVENT VOUS INTÉRESSER
justice pour Patrick Lyoya, un Congolais tué par un policier
USA : justice pour Patrick Lyoya, un Congolais tué par un policier
Aux USA, des populations réclament  justice pour Patrick Lyoya, un Congolais tué par un policier. Vagues de manifestations à Grand Rapids, dans le Michigan. Plusieurs hommes et femmes descendent dans les rues depuis quelques jours pour manifester contre l'assassinat de Patrick Lyoya, un Kino-Congolais tué par un policier blanc lors d'un contrôle routier à Grand Rapids, le 4 avril 2022, révèle un article d'Africanews. Selon les vidéos de la police, c'est pendant une altercation que le policier a tiré une balle dans la tête du jeune homme de 26 ans. Ce drame s'inscrit dans une longue liste de personnes noires tuées par des policiers aux États-Unis. Une première manifestation a eu lieu mercredi soir  après la publication d'une vidéo de la mort du jeune homme. Les parents de la victime ont émigré aux États-Unis, fuyant la guerre dans leur pays d'origine, la République démocratique du Congo. Ils appellent à des poursuites contre l'agent impliqué dans le meurtre de leur fils.

Justice pour Patrick Lyoya, un Congolais tué par un policier

Le policier dont l'identité n'a pas été révélée a été mis en congés payés, en attendant les résultats de l'enquête conduite par la police du Michigan. Pendant ce temps à Kinshasa, le gouvernement a réagi durant le dernier Conseil, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a condamné avec force le lâche assassinat de Patrick Lyoya. Les populations africaines vivant dans les pays de l'occident sont appelés à doubler de vigilance dans leurs pays respectifs de résidence, compte tenu de la vague d'assassinats, basé sur la couleur de peau ou le pays d'origine de la personne. Paix à son âme. Source : Africanews
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Un homme d'une soixantaine d'années a reçu 90 doses de vaccin contre la covid-19 pour des raisons commerciales. Il revendait les certificats de vaccination à des personnes refusant le vaccin. L'histoire étonnante s'est produite en Allemagne. Un homme âgé de 61 ans a défié la science en recevant 90 doses de vaccin contre la Covid-19 pour arrondir ses fins de mois, d'après un article du site Ulyces.

Il se fait vacciner 90 fois pour vendre les pass sanitaires

En effet, l'homme allait dans plusieurs centres de vaccination en Allemagne pour recevoir le vaccin. Après s'être fait administré les doses de vaccins, il récupérait les pass sanitaires, et allait les vendre à des personnes qui en avaient besoin pour voyager ou aller au restaurant.
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Révélations troublantes après la mort d’Osinachi, son mari arrêté. Le mari de la défunte chanteuse nigériane Osinachi Nwachukwu a été arrêté, quelques jours après sa mort, selon un article du site The Guardian. Il est accusé d’avoir asséné des coups et blessures ayant entrainé la mort de la chantre gospel. La police de la capitale Nigériane d’Abuja a arrêté cette semaine Peter Nwachukwu, chanteur principal du centre International de Gospel Dunamis et mari d’Osinachi, après une plainte pour « homicide » déposée par la famille de la victime.

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  "Il est maintenant en notre détention. Le jeune frère de la défunte a signalé l'affaire et nous avons ouvert une enquête", a déclaré Joséphine Adeh, porte-parole du commandement de la police d'Abuja.   Favour Made, la sœur ainée de la défunte, affirme dans une interview sur Vanguard, qu'Osinachi avait reçu un coup de pied de son mari dans la poitrine, ce qui l’aurait conduit aux urgences."Lorsque l'homme lui a donné un coup de pied à la poitrine, elle est tombée et il l'a emmenée à l'hôpital, mais il ne nous l'a même pas dit". "C'est son amie, qui vit dans l'État d'Ebonyi, qui a appelé sa sœur jumelle, car Osinachi a une sœur jumelle, pour lui demander : " Ta sœur, t'a-t-elle dit que Peter l'a frappée à la poitrine ?" La sœur lui a répondu que non". A-t-elle ajouté.   "C'est le coup à la poitrine qui l'a tuée. Mon frère a dû demander au médecin ce qui l'avait tuée et le médecin a répondu qu'il y avait des amas de sang sur sa poitrine", poursuit-elle.   Madame Made a également affirmé que sa famille avait demandé à Osinachi de renoncer à ce mariage en raison de la violence domestique, mais elle aurait refusé pour le bien de ses enfants.

Témoignages

  Quelques chanteurs de gospel qui ont travaillé avec Osinachi Nwachukwu, ont également accusé son mari de violence domestique."Une fois, dans un studio, cet homme l'a giflée juste parce qu'elle voulait enregistrer la chanson en Igbo contre sa volonté. Elle ne fait rien de son propre chef", a déclaré le chanteur Frank Edwards dans un live sur Instagram.   L'avocate nigériane Honey Evarist a également affirmé à travers un post sur Facebook que le mari de la regrettée chanteuse de gospel Osinachi Nwachukwu "avait l'habitude de demander à leurs enfants de la piétiner et de la frapper".   Selon les rapports initiaux, la chanteuse de 42 ans souffrait d'un cancer de la gorge, mais sa famille a démenti cette information, affirmant qu'elle avait été victime de violences domestiques.

Sakola

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