Un contrôleur de bus engrosse 6 jeunes filles à Mbota Carlos. La nouvelle fait grand bruit dans les rues de Pointe-Noire.
En effet, un jeune qui gagne sa vie comme contrôleur d’un bus de transport en commun s’est assigné comme mission de peupler le Congo malgré son salaire précaire. Il a enceinté 6 filles d’un même secteur à Mbota Carlos.
Le se*xe et l’alcool sont devenus des véritables loisirs de la jeunesse congolaise à en croire certains acteurs de la société civile.
Quand le Congolais n’a rien dans ses poches, il se fait des projets et se lamente avant de se retrouver dans un débit de boisson dès qu’il trouve quelques billets de banque. L’alcool et le se*xe sont devenus les principaux loisirs de la jeunesse.
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Un contrôleur de bus engrosse 6 jeunes filles à Mbota Carlos
À défaut de l’emploi au pays, beaucoup se débrouillent comme ils peuvent pour survivre. On retrouve de nombreux diplômés comme chauffeurs dans le transport public ainsi que contrôleurs sont ceux qui ont abandonné tôt les études. C’est le cas de ce contrôleur de bus qui vient d’enceinter 6 filles à Mbota Carlos.
Avec la crise financière qui sévit au Congo, nombreuses sont les filles des couches défavorisées qui ont mis leurs espoirs sur ces travailleurs qui ramènent quelques billets de banque chaque jour contrairement aux salariés mensuels. Les chauffeurs, contrôleurs sont à la mode chez ces filles.
Ainsi, cela est une aubaine pour ce jeune contrôleur qui assurait chaque jour 2000FCFA à chacune des 6 filles grâce à ce qu’on appelle communément « Mouamba » à Pointe-Noire.
Dépassant chaque jour le montant à verser aux propriétaires des véhicules, les contrôleurs qui gèrent la recette se retrouvent mieux par rapport aux chauffeurs.Malheureusement, ce jeune est inconscient de la responsabilité qu’il incombe désormais et croit être un Don Juan.
Source : le Congolais.fr
3 Comments
Daisy chedrick Maganga mombo
Hélas le contrôleur de bus aujourd’hui chez nous au Congo Brazzaville est devenu un acteur économique inpossant auprès de notre communauté qui perd de plus d’éthique, au-delà des jeunes filles vulnérables qui n’ont plus d’alternative
La Rédaction
Vous l’avez si bien dit.C’est bien dommage qu’on perd plus en valeurs morales.