Interview : Bradley Mixel, l’ingénieur de son évoque sa relation avec Baby Dorcelle

Il n’est plus à présenter dans la sphère audiovisuelle au Congo. Le travail de ce spécialiste du Son, et même de l’image parle de lui-même , vous verrez. Après des passages dans plusieurs médias de la ville de Pointe-Noire et notamment à Africanews, ce dernier a décidé de lancer son propre studio d’enregistrement, dans lequel il entretient plusieurs artistes de la ville économique congolaise. Il a collaboré notamment avec Arsène Ngouelé, Irène Makosso, Seven de Landry, Blanchard Ngoy, …



L’un des meilleurs ingénieurs de son de la ville océane se prête à cœur ouvert, au jeu de questions et réponses au micro de Sakola tv. Il nous dit tout sur sa relation avec ses collègues et particulièrement avec Baby Dorcelle avec qui il s’est beaucoup rapproché ces derniers temps. Suivez cette interview.

Pour votre compréhension :

Stv : SAKOLA Tv

BM : Bradley Mixel

Stv : bonjour, peux-tu te présenter ?



BM : je suis Bradley Mixels, Artiste musicien, chanteur formateur, pianiste, technicien audiovisuel et sonorisateur.

Stv : pourquoi le Son ?

BM : le Son ? Parce qu’à la base, j’aime le Son. J’ai découvert le son par la musique qui est définie comme la science des sons et l’art de les combiner dans les convenances à l’organisation humaine. Et depuis, je suis fasciné par le Son.

Stv : est-ce ta seule activité rémunératrice ?

BM : oui, c’est ma seule activité rémunératrice.

Stv : quels genres de musique produis-tu ?

BM : je produis toute sorte de Musique.

Stv : tu as participé à la création du film Parcours, qu’est-ce qui t’a motivé à participer à ce projet ?

BM : Bah parce qu’à la base, je suis cinéphile et en tant que musicien et amoureux du son, naturellement l’univers des musiques de films m’intéresse. Et le projet parcours a été pour moi l’occasion de faire mon entrée dans ce milieu.



Stv : on t’a vu récemment avec BabyDorcelle, et le public trouve que vous vous êtes trop rapprochés, est-ce juste une simple collaboration ?

BM : oui, c’est juste une simple collaboration.

Stv : peux-tu nous parler de tes prestations en dehors du studio ?

BM : en dehors du studio, je réponds à certaines invitations en tant que sonorisateur pour des évènements. Je fais aussi du coaching vocal.

Stv : quels sont tes projets pour 2022 ?

BM : faire découvrir au monde entier l’étendu de mon travail. Élever le standing de mon studio pour en faire une grande maison de production reconnue à l’échelle internationale.



Stv : peux-tu citer l’un de tes ingénieurs de son préférés et les raisons qui te font aimer son œuvre ?

 

BM : Pahppee Mossama, pour sa créativité et parce que c’est lui qui m’a initié en tant que soundier.

Stv : avec quel ingénieur n’aimerais-tu jamais collaborer, même pour le diamant ?

BM : personne, je suis ouvert à toute collaboration



Stv : si tu devais prodiguer un conseil à un jeune « soundier », ou à un débutant, que lui dirais-tu ?

BM : Bun, premièrement, je lui dirai de développer son oreille musicale. Deuxièmement, je lui dirai d’apprendre la physique du son et de beaucoup travailler et surtout d’être à l’écoute.

Fin