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Gabon : l’État recrute des prestataires !

Le Gabon recrute.Le ministère gabonais de la formation professionnelle, a lancé le 14 juillet 2022, un avis d’appel d’offres international pour l’équipement de lycées techniques et de centres de formation et de perfectionnement professionnels (CFPP). Cet appel d’offres est réparti en trois lots, signale l'agence Ecofin. Le 1er lot porte sur l’acquisition des machines, équipements et matériels des ateliers et laboratoires.    Le second lot quant à lui, porte sur l’acquisition du mobilier, le matériel informatique, les équipements de bureautique et consommables divers. Le 3e lot portera sur l’acquisition des équipements et matériels biomédicaux.   Les équipements seront financés par la Banque Africaine de Ddeveloppement, pour le Projet de renforcement des capacités pour l’employabilité des jeunes et l’amélioration de la protection sociale (RCEJPS).    Une partie du prêt servira aux paiements de l’équipement et du mobilier des CFPP, lycées techniques et l’École de santé. Le délai de livraison des équipements et matériels des différents lots est de quatre mois. Un même soumissionnaire peut concourir pour tous les lots, d'après les autorités.   Les attributions se feront lot par lot. Aucune limitation dans l’attribution des lots à un même soumissionnaire, toujours selon les autorités.   Cette fourniture d’équipements et de mobilier concerne les établissements de formation suivants : Lycée technique Jean Fidèle Otando ; Centre de formation et de perfectionnement professionnels de Port-Gentil (Ogooué-Maritime) ;   Les centres Ecole nationale de commerce de Port-Gentil ; Lycée technique Fulbert Bongotha de Moanda (Haut-Ogooué) ; Lycée technique Agathe Obendze de Franceville ; Centre de formation et de perfectionnement professionnels de Koula-Moutou (Ogooué-Lolo)sont également concernés.  

L’armée de l’air nigériane bombarde par erreur des civils -Officiel

Selon un article de BBC news Afrique apparu ce 07 juillet 2022, des habitants d'une communauté de l'État de Katsina, dans le nord-ouest du Nigeria, affirment qu'un avion militaire nigérian, a tiré un missile sur des civils, alors qu'il était censé viser des bandes armées. D'après la source, au moins une personne a été tuée et plus d'une douzaine d'autres blessés. Ils seraient actuellement en train de recevoir des soins dans un hôpital, a déclaré le député local Abduljalal Haruna Runka à la BBC.   →→→Confidence : à 25 ans, j’ai couché avec 80 hommes et je ne regrette pas   Cette nouvelle tragique intervient un jour après que des hommes armés ont attaqué l'équipe de sécurité avancée du président Muhammadu Buhari, qui devait se rendre dans l'État pour célébrer la fête de l'Aïd ce week-end.   L'armée nigériane n'a pas encore commenté les allégations d'attaque contre des civils.   Toutefois, dans une déclaration antérieure, l'armée nigériane a indiqué que ses avions avaient attaqué deux camps où se cachaient ceux qu'elle décrit comme des "terroristes", près de certains villages de la même région. Ces dernières années, il est arrivé à plusieurs reprises que des avions militaires nigérians frappent par erreur des civils lors d'opérations menées contre des membres de groupes armés, qui se cachent souvent dans des zones civiles.

21 personnes meurent mystérieusement dans une boite de nuit en Afrique du Sud

En Afrique du Sud, un peu plus de 21 personnes meurent mystérieusement dans une boite de nuit d'East London. Les causes restent floues. Le gouverneur de la province du cap oriental relatait qu'il y a huit filles et treize garçons, peut-on lire dans un article d'Africanews du 27 juin 2022.   Alors que les corps sans vie de 17 jeunes ont été retrouvés dans le bar dimanche, 4 autres personnes qui se trouvaient dans la taverne sont décédées à l’hôpital selon les autorités locales.

21 personnes meurent mystérieusement dans une boite de nuit

→→→Inquiétude au Burkina Faso après le massacre de Seytenga   Toujours selon les autorités, il s'agit des jeunes qui célébraient la fin de l’année scolaire. Leurs proches sont inconsolables. "Nous sommes vraiment tristes, nous ne nous attendions pas à ce que cela arrive", explique Chef Vusumzi Mgangala, père d'une des personnes décédées.   L'enquête se poursuit pour tenter d’élucider les circonstances de drame alors que la police sud-africaine a déjà exclu la thèse d’une bousculade.

Inquiétude au Burkina Faso après le massacre de Seytenga

Le Burkina Faso a entamé mardi un deuil national de trois jours après l'attaque qui a fait au moins 79 morts à Seytenga selon un nouveau bilan, peut -on lire sur Africanews.fr Cette tuerie meurtrière est à l'origine d'un déplacement massif des populations du nord vers la ville de Dori. Elle a également causé de l'inquiétude pour celles qui vivent loin de ses zones à risque, mais craignant une irruption de la violence à en croire un burkinabé.   "Au début, on avait de l'espoir, on avait cru que comme c'était un corps militaire, il (le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, ndlr) allait changer la situation, nous sauver des attaques terroristes, mais maintenant, on ne sait pas du tout où on en est, on ne sait pas s'il travaille dessus ou s'il s'est endormi. Je ne sais pas, mais c'est trop lent", s'offusque un Burkinabé.