Un supermarché affiche les visages des voleurs car fatigué des vols et effractions à répétition. Le gérant d’un supermarché a décidé d’afficher les photos des « voleurs du mois »…
La chantre congolaise résidant au États-Unis Denise Mwanakitata nous partage un témoignage bouleversant qui aura marqué sa vie notamment l’arrivée de son troisième enfant. Elle nous fait part des moments difficiles qu’elle a dû endurer avant de vivre la gloire de Dieu. On espère que ce témoignage plein d’émotions vous inspirera.N'hésitez pas à laisser un commentaire et à le partager.
"Je suis denamwana chantre de l’Éternel, je suis une épouse et mère de trois enfants. Je connais le seigneur depuis 2006, je le sers depuis 2008. Mais c’est simplement durant les années 2013 et 2014 que je commence vraiment à avoir une vraie histoire avec lui, c’est-à-dire que je le servais déjà, mais en cette période-là, j’ai vraiment dit oui à l’appel. Et c’est là que tout a commencé.Quand je dis finalement oui à l’appel, après avoir déjà eu mes deux enfants, un garçon, l’ainé et la deuxième une fille, quelques années après, je dirai 5 à 6 ans, le Seigneur a commencé à me harceler si je peux dire de cette manière. De me dire qu’il voulait que j’aie un troisième enfant.J’avais déjà commencé le ministère, c’était très difficile pour moi. Je regardai un peu comme une femme, ça aurait été très difficile d’être à la fois maman, à la fois la femme au foyer et cette servante qui allait de pays en pays et de ville en ville et avoir un bébé entre les mains c’était pour moi un challenge, j’ai donc dis non au Seigneur pendant plusieurs années jusqu’en 2013 où il a vraiment commencé à me rappeler qu’en fait, il voulait vraiment que j’aie cet enfant parce qu’il disait que avec tous ses serviteurs, il a toujours une histoire et il a comme un document qu’il signe en fait comme un signe d’alliance pour travailler avec lui.Et donc il a commencé à me rappeler que cet enfant était un signe en fait pour qu’il puisse finalement commencer avec moi ce qu’il fait présentement dans ma vie et ce qu’il fera dans le futur évidemment. Donc j’accepte finalement. J’étais dans un avion en train de partir pour un travail à Londres et là, je dis oui au Seigneur. Après avoir dit oui, je pensais que ça aurait été très facile, mais au contraire, c’est là que les vrais challenges ont commencé.Après 7 ans, je suis finalement tombé enceinte. À ma grosse surprise, j’ai traversé des moments super difficiles. C’est-à-dire que j’étais couchée pendant plus de deux mois sur un fauteuil où des gens venaient voir si j’avais déjà rendu l’âme ou pas. Je recevais des messages, des gens qui me disaient que je ne survivrais pas, je mourrai. Pourtant, je savais que j’avais la promesse de Dieu entre mes mains. Et je savais ce que Dieu m’avait dit.J’ai tenu bon. Je savais depuis le début que c’était un garçon. Parce qu’il m’a dit que ça sera un garçon et qu’il s’appellerait Yoram. Finalement, à cinq mois de grossesse, j’ai appris réellement que c’était un garçon. À partir de 5 mois de grossesse, j’ai repris à servir le Seigneur. Donc je n’étais plus malade et c’est là que le Seigneur m’a montré en fait dans quoi il m’attendait.Pour la première fois de ma vie, je prophétisais pendant mes prestations. Je parlais aux gens comme si j’avais l’impression que je pouvais voir dans les cœurs des autres. Je pouvais entendre des soupirs, je pouvais agir un peu comme Dieu agirait en fait. Il venait de me donner un nouveau cœur. Il venait de me transférer sa vie. Donc tout ce temps, je le servais, mais je ne vivais pas la vie de Christ en soi. Je ne connaissais pas ce que c’était la compassion. Je ne pouvais pas lire dans les yeux des autres la souffrance qu’ils traversaient.
Il n’est plus à présenter dans la sphère audiovisuelle au Congo. Le travail de ce spécialiste du Son, et même de l'image parle de lui-même , vous verrez.…
Le régulateur russe des médias a bloqué ce mardi 29 mars 2022 l'accès au site de la chaîne française Euronews, peut-on lire sur le site jeanmarcmorandini . Ce média…
Le Ghana s'est qualifié mardi soir pour la coupe du monde de football au Qatar. Les Black Stars ont arraché le match nul (1-1) à Abuja, face au Nigeria.Ils deviennent…
Au Ghana, les mesures sont strictes, le salaire du président et des ministres réduits de 30 %. Le gouvernement a annoncé jeudi qu'il va diminuer les salaires des…
La nouvelle tant attendue est enfin tombée. Six jeunes réalisateurs ont été sélectionnés à l'issue du concours de court-métrage initié par l'Unesco et Netflix.
Les réalisateurs mauritanien, nigérian,…
En quête d’une offre d'emploi au Congo Brazzaville? Pas de soucis. Nous avons minutieusement sélectionné ces annonces qui pourraient vous intéresser. Que vous soyez de Brazzaville ou…
Le président ukrainien VolodymyrZelensky a confié à Fareed Zakaria, journaliste de CNN qu'il est prêt à négocier avec le président russe Vladimir Poutine.Zelensky a prévenu que si les négociations échouent, "cela signifierait qu'il s'agit d'une troisième guerre mondiale."Dans une interview publiée ce lundi sur le site de CNN, le président ukrainien dit être "prêt" pour les négociations depuis deux ans. Il se dit également que négocier est la seule manière de sortir de ce chaos.Pour sa part, le président russe, Vladimir Poutine s’était également prononcé pour une négociation en "tête à tête"avecZelensky. Il a fait savoir sa volonté de négocier au cours d’un appel téléphonique avec le président turc RecepTayyipErdoğan,signale le site Ulyces.Il est donc possible que dans les jours à venir une rencontre soit ficelée entre les deux présidents pour trouver une porte de sortie de la guerre qui s'abat depuis bientôt un mois en Ukraine.Dimanche 20 mars 2022, Le Haut Commissaire des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a annoncé que dix millions de personnes ont fui leur foyer depuis le début de la guerre.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.AccepterRefuser