Un pasteur polygame critiqué sur les réseaux sociaux, sa première femme réagit

Un pasteur polygame critiqué sur les réseaux sociaux, sa première femme réagit à la surprise générale des internautes et des fans qui prenaient sa défense pour certains.

 

Un célèbre pasteur polygame originaire du Botswana lynché sur les réseaux sociaux pour avoir exhibé ses deux femmes avec un air comblé et heureux. Sa première épouse réagit à ce lynchage d’une manière étonnante.

 

Le célèbre pasteur Botswana Sekati Kemmonye fait l’objet des critiques sur Internet. Son mariage avec deux femmes suscite des interrogations auprès des internautes qui pensent que le pasteur vit dans la totale abomination.



Mais sa première femme a fait une sortie récemment pour calmer les détracteurs de son mari. Il est rare de voir une épouse qui soutient son mari qui lui a pris une coépouse.

Les coépouses du pasteur polygame s’adorent

C’est le cas de Kagiso, la première femme légale du pasteur Kemmonye. Lors d’une interview avec le magazine Kutlwano, Kagiso a déclaré que son mari ne doit pas être critiqué pour avoir épousé sa deuxième femme, Mpho.

Elle remercie d’ailleurs son époux d’avoir rendu public son deuxième mariage. Leur trio amoureux ne regarde personne, dit-elle. Ils vivent heureux à trois avec leurs enfants.

 

Pour Kagiso, son mari aurait pu garder sa relation secrète avec Mpho sa coépouse. Mais par respect pour ses engagements, ce dernier a rendu cette liaison publique. Le public doit alors l’encourager et non pas le critiquer, affirme-t-il.

 

« Ne soyez pas trop rapides à critiquer notre mari. Il aurait pu garder Mpho secrète, mais il a choisi de faire ce qu’il fallait, ce qui n’est pas étranger à la culture africaine. »

 

LIRE AUSSI →→→Camille Makosso renonce à son titre de “pasteur” et affirme qu’il est coach

 

L’année dernière des photos de ce triangle amoureux, ont fait sensation sur Internet. Plusieurs femmes ont condamné cette attitude du pasteur de vouloir s’accaparer de deux femmes, ce qui est contraire aux enseignements.



Des hommes de Dieu ont condamné cette pratique la diabolisant et la considérant comme sacrilège pour le corps du Christ. D’autres se sont contentés de dire que « la fin des temps est proche » en voyant ses images.

 

Le nom de l’église du pasteur Sekati n’a pas été dévoilé. Mais certains fidèles attestent qu’il s’agit d’une église Assemblée de Dieu.

 

Source : Afrikmag