Elle bouffe l’argent d’un mec et refuse de lui céder le mougouli.Une jeune vendeuse du gésier refuse de céder à un client, jugeant son truc* trop gros*. Ce dernier exige le remboursement total de ses dépenses, chose que Martine n’est pas prête à faire, car elle a tout bouffé.
L’histoire se passe à Bonabéri dans la ville de Douala au Cameroun. Une jeune femme nommée Martine et venue tout récemment du village est reconvertie en pros*tit*uée par sa sœur qui l’a reçue.
Cette dernière, âgée de 22 ans est initiée à la vente du gésier. Et très vite, Martine prend ses marques. Alors qu’elle sortait comme tous les soirs chercher son gagne-pain, elle tombe sur un client peu généreux.
Ce dernier lui emmène dans une sandwicherie et lui offre un shawarma plus deux bières. Après la partie restaurant, les deux adultes décident de faire une virée vers un hô*tel appelé le « Dedans ».
Elle bouffe l’argent d’un mec et refuse de lui céder le mougouli
Une fois dans une chambre payée à 3 000 frs, monsieur BP, fidèle client de l’auberge remet 5 000 frs à Martine comme prix de sa facture puis décide de se mettre à l’ais.
Il commence par prendre une douche alors que Martine elle, se mettait à l’aise dans le lit, question de digérer ses bières, avant de passer aux choses sérieuses.
En voyant monsieur BP dit « Bon payeur » sortir de la douche laissant tomber la serviette, la jeune femme crie au secours. En effet, elle découvre que le tr_uc de BP est gro*s, et elle décide de se rhabiller pour fuir.
BP aussi dit non!
Étonné, BP lui dit que non ! Elle doit d’abord lui servir ensuite, elle pourra partir. La jeune vendeuse de gésier refuse catégoriquement disant que le truc_de_BP risque de détruire son gésier. Vaut mieux ne pas.
À ces mots, BP lui accorde de partir à la seule condition qu’elle rembourse ce qu’il lui a donné notamment les 5 000frs plus les dépenses à la sandwicherie. La somme totale s’élevant à 7 000frs.
Mais Martine n’a que les 5 000frs que BP lui a remit 30 minutes plus tôt. Elle décide donc de les remettre à BP.
Mais ce dernier dit de rembourser également la consommation. Les bruits de « Laisse-moi partir » attirent la réception qui vient au secours de la jeune dame.
C’est ainsi que l’un des curieux dans la réception, une femme d’une quarantaine d’années va découvrir l’histoire triste de Martine, et décidera de donner les 2 000frs à BP et l’affaire est close.
Libre, Martine a pu regagner chez elle. La jeune fille a été priée de retourner à l’école ou de faire un commerce afin d’éviter ce type d’humiliation publique la prochaine fois.
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