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France : une Congolaise demande le divorce parce que son mari ne la touche plus

Une jeune femme originaire de la République du Congo et résident à Paris en France a décidé récemment de tirer un trait sur son mariage. En cause, son époux ne la touche plus sans raison palpable.

En effet une jeune femme mariée d’une vingtaine d’années a décidé de rentrer au bercail après avoir passé des mois de tension dans son foyer conjugal.Des semaines sans retour aucun de sa femme, monsieur Mounk**** a sollicité les aînés afin de plaider en faveur du retour de sa femme dans leur maison conjugal à Cergy le Haut.



Une réunion de famille a eu lieu dans la commune de Saint Denis dans le 93 pour déceler les causes d’une menace de divorce entre monsieur et madame Mounk****. Les familles des deux époux ont tenu une réunion de famille à huit clos pour essayer de déterminer la raison pour laquelle Madame Mounk a quitté le foyer conjugal.

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Réunis devant leurs parents, la femme  a dans un premier temps voulu se taire disant qu’il ne se passe rien de grave mais elle serait juste fatiguée du foyer.Elle a affirmé vouloir prendre du temps pour elle même auprès de sa mère.Une raison échappatoire qui n’a pas convaincu l’assemblée encore moins son époux.

Interrogé, l’époux affirme également qu’il ne se passe rien et a suggéré récupérer sa femme.Ce dernier aurait exigé à la famille de son épouse, de lui renvoyer sa femme disant que si elle veut se reposer elle pourrait le faire dans leur maison conjugal loin des travaux ménagers dont il s’est engagé à faire. Il aurait confirmé que tout était au top dans leur foyer et donc pas besoin d’en faire des tas.

une Congolaise demande le divorce parce que son mari ne la touche plus

Réfutant la suggestion de son mari,Madame Mounk**** a fini par déballer le tapis.Cette dernière a d’abord dit qu’il se passait trop de choses dans leur maison. Mais elle n’a pas voulu tout sortir et a préféré demander à ses parents de lui laisser encore du temps.



Sa belle tante présente à la réunion aurait obligé la jeune mariée à retourner dans son foyer pour une bonne ambiance.Elle aurait d’ailleurs invité sa belle-fille a ouvrir son cœur et à pardonner à son mari si problème y’  avait. Elle lui aurait d’ailleurs obligé à retourner dans la maison conjugale si réellement il n’ y avait rien.

Prise entre deux murs, Madame Mounk aurait dit à sa mère et sa tante ce qui se passait réellement.Elle aurait affirmé sans donner trop de détails que son mari ne s’occupe plus d’elle.Elle atteste d’ailleurs en souffrir depuis des mois.Elle aurait  avoué avoir quitté le domicile conjugal car son époux ne la touche plus depuis quelques mois.

Elle affirme être jeune et souhaiterait faire usage de ses forces et énergies avant la vieillesse.D’après elle, l’homme qu’elle a épousé ne voit pas les choses de la même façon.

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Mais l’absence aurait engendré des disputes dans leur foyer. Tension après tension, Madame Mounk**** aurait dit à sa mère qu’elle veut refaire sa vie avec un homme gourmand si jamais monsieur ne change.

Mais l’homme aurait totalement rejeté ses affirmations. Il aurait affirmé tourner le dos à sa femme que quelquefois quand il rentre du boulot et est fatigué. Et quand il trouve sa femme endormie, il préfère la laisser dormir.



Les discussions sont allées arguments contre arguments. Les parents de l’époux ont promis prendre en charge leur fils, afin de redorer le blason terni de leur histoire d’amour.

En effet, on suspecte que le jeune marié souffre de fa!blesse s_exµell€, d’où la fuite de ses responsabilités.C’est le cas dans plusieurs foyers où certaines femmes ont choisi de se taire sinon de tromper leurs époux.

La femme a pour sa part affirmé qu’elle ne retournerait pas dans ce foyer tant que son mari ne reprend pas les bonnes habitudes.A en croire nos sources, elle souhaiterait être réveillée même si le mari rentrait tard.



Mariés depuis 3 ans, et parents d’un garçon de 2 ans, monsieur et madame Mounk**** respectivement âgée de 37 ans et 25 ans ont scellé leur union devant les parents et devant le maire de Cergy préfecture, en fin d’année 2018.

 

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